Une femme forte sombre dans la soumission par amour

Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 10 ans
Pour ne pas perdre son mari et réveiller la sexualité déclinante qui est la leur depuis qu’elle prend du poids, Lucie se laisse embarquer par amour dans un rapport de domination soumission.

D’une sexualité déclinante ils passent à une sexualité débordante, il prend de plus en plus de plaisir à la dominer, elle atteint malgré la honte des jouissances torrides en se faisant traiter de « grosse vache » et bien d’autres mots pendant qu’il la prend avec la même vigueur que leur première année de mariage.

Cette logique de pratique BDSM prend très vite de l’ampleur dans l’esprit de Jacques. Il l’attache de plus en plus souvent dans des positions obscènes avant de la fesser quand il ne lui donne pas des coups de martinet ou de canne anglaise. Les fesses de Lucie sont très souvent striées quand il la prend ensuite avec vigueur. Pendant des années, elle lui a refusé la sodomie, maintenant qu’elle est sa soumise, il se sent des ailes alors qu'attachée jambes écartées et penchée en avant par-dessus le dossier du canapé, elle n’a rien pu faire hormis crier dans son bâillon quand il a f o r c é son étroit passage.

Malgré la honte éprouvée et la douleur, Lucie a découvert que par « là » ce n’est pas si mauvais que ça, Jacques étant en pleine forme ce soir là, elle perdit un peu la tête et faillit presque arriver à jouir, mais cela n’a aucune importance d’après Lucie, pour elle Jacques est d’un grand égoïsme au lit et confond soumise d’Amour et esclavage. En guise de remerciement, tenue par ses magnifiques cheveux blonds doux comme de la soie, elle dut lui faire une « pipe satisfaisante » en buvant tout sans en perdre une goutte puis le remercier de sa semence.

Les évolutions de son mari font peur à Lucie, certes il redevient câlin, certes elle prend souvent du plaisir, certes ils ont des rapports sexuels comme au premier jour mais cela est quand même assez hard comme sexualité. Les propos humiliants usités pendant ces moments puis de plus en plus dans la journée l’inquiètent. Elle essaye d’en parler mais en vain, Jacques a toujours raison en tout, la preuve, les voisines lui font du charme. Il est vrai que l’homme est particulièrement charmant physiquement et qu’il sait parler aux femmes. Ce qui a fait qu’elle a fondu pour lui devient aujourd’hui sa hantise.

Jacques a tenu à participer à un des pique-niques de rencontres que Fessestivites organise pour ses membres. La marche fut haute pour Lucie de plus en plus complexée par son poids. Sa poitrine généreuse, sa magnifique chevelure et son visage d’ange en font une très belle femme souvent courtisée mais elle se focalise sur les kilos en trop. Lors de cette rencontre, elle put constater qu’elle n’était pas la seule femme ronde et que cela ne les empêchait pas de s’amuser.

Quand elle vit Jacques donner une fessée à une des jolies soumise présente prêtée par son Maître, son cœur se vrilla de douleur. Si d’autres femmes le faisaient, dans son imagination elle ne pourrait refuser de se prêter au jeu, sans quoi son mari pourrait sympathiser avec les femmes seules invitées. Retirer sa culotte et exposer à tout le monde ses grosses fesses sur les genoux de son mari fut pour elle une étape difficile. Elle accepta convaincue de ne pouvoir refuser et reçut une monstrueuse fessée en serrant les dents pour ne pas crier. Une des soumises la félicita pour son endurance sans savoir que Lucie souffrait autant dans tête que des fesses.

Il y eut d’autres jeux BDSM, Jacques tint à ce qu’elle essaie le fouet avec l’hôte des lieux qui fut doux avec elle dans ses mots et dans ses coups de fouet, pour lui ce n’était qu’une initiation de plus, pour elle ce fut un instant de bonheur car elle put lire dans les yeux du fouetteur un véritable échange muet mais complice. Quelqu’un pouvait chercher à lui donner du plaisir malgré son poids et ses bourrelets.

Lors du repas pris sous un noyer protecteur du soleil, Jacques discuta beaucoup avec un couple autant libertin que BDSM. Elle s’inquiéta grandement sur les intentions de son mari, voulait-il juste faire du BDSM ou sauter la femme ? Bien que le week-end fut éprouvant tant physiquement que psychologiquement, Lucie apprécia qu’il la prenne par la main dans la journée et lui dise deux fois qu’il l’aime.

Elle constata que son mari allait de plus en plus souvent sur Fessestivites pour discuter ou regarder des vidéos affolantes quand on découvre ce monde. En apprenant qu’il avait accepté une invitation chez le couple Lyonnais, Lucie prit peur, Jacques allait revoir cette fille aux yeux rieurs et aux courbes délicieuses. Elle n’osa pas s’opposer à cette invitation, ils dormiraient sur place la route étant trop longue pour rentrer à Paris.

Pendant le trajet les conduisant à Lyon, au fil des kilomètres son estomac se nouait. L’accueil dans une belle maison sur les hauteurs fut très chaleureux, l’alcool coula à flot puisqu’ils ne prenaient pas la route après la soirée. Chris portait un rosebud de bonne taille que son Maître fit voir à Jacques en lui expliquant que sa femme en portait un différent tous les jours même quand elle travaille. Quelle horreur pensa Lucie, pourvu qu’il ne m’impose pas ça.

A la fin du repas simple mais délicieux, ils prirent la direction du donjon emménagé dans leur garage. Lucie n’eut pas d’autre choix que de se mettre nue avant d’être attachée morte de honte à la croix de Saint André. Max demanda la permission de jouer avec de si beaux seins, Jacques lui accorda volontiers ce plaisir, être ainsi touchée par un autre la perturba , son mari voulait-il se débarrasser d’elle ? Il lui fit un shibari sur les seins ce qui les rendit encore plus gros et difformes. Max s’éclatait en disant qu’avec la poitrine menue de Chris il n’y arrivait pas. Pour Lucie c’était au moins quelque chose de plus qu’elle avait, on pouvait lui attacher les seins……

Les hommes s’amusèrent grandement, Chris aussi d’ailleurs quand Jacques lui donna une fessée qui la fit jouir et pleurer de bonheur. Max proposa à Jacques de faire de la jouissance f o r c é e à Lucie affolée. Pour ne pas faire d’esclandre ni laisser la place à Chris, elle se sentit encore une fois obligée alors qu’elle aurait pu refuser, Max n’aurait pas insisté. Allongée sur un sling avec les jambes maintenues en l’air dans des sangles prévues à cet effet, elle exposa bien malgré elle sa plus tendre intimité mais aussi et surtout ses bourrelets particulièrement favorisés par la position semi assise.

Quand elle vit Max mettre des gants, elle pensa à son gynécologue sauf que lui ne l’attache pas et a l’habitude de voir des femmes de tout âge et de toutes tailles. Les accessoires vibrants derrière en plus des mains agiles en sa minette et sur son clitoris f o r c è r e n t la décontraction…. Chris vint les rejoindre, elle s’occupa de gérer son clitoris au magic wand pendant que Max entreprenait de la fister et que Jacques, les yeux émerveillés, malaxait ses tétons en lui faisant des câlins. Avec autant d’attentions et de douceur, le plaisir eut raison de ses complexes, Lucie décolla en un rien de temps pour atteindre des sommets de jouissances inimaginables pour elle. Elle criait « non » souvent mais ils étaient ensuite suivis de « ouiiiiiiii » plus appuyés et surtout très mélodieux.

En fin de soirée, ils achevèrent une bouteille de champagne, les apéros cumulés aux vins du repas additionnés au champagne eurent raison des timidités et de la retenue. Lucie se laissait aller nue sur le canapé recouvert d’une serviette avec les jambes écartées à présent sans aucune gêne. Elle avait encore du mal à redescendre de son nuage quand la conversation a dérivé sur le physique des gens pratiquant le BDSM. Lucie fut surprise d’entendre que cela n’avait aucune importance en ce monde particulier et que ce qui compte c’est l’état d’esprit, pas les formes.

Le soir même son mari lui fit l’amour avec beaucoup de fougue et de tendresse mêlées, elle s’endormit comme une bien-heureuse. Au petit matin, on toqua à leur porte, Jacques dit d’entrer en se demandant ce qu’il se passait. Chris apparut en tenue de soubrette avec un plateau pour le petit déjeuner.

  • Bonjour les amoureux. Mon Maître m’a demandé de vous apporter le petit déjeuner et de vous dire que ma bouche est à votre disposition Monsieur si vous désirez que je vous fasse une pipe ou si Madame désire que je la lèche.

Le s a n g de Lucie ne fit qu’un tour puis se glaça totalement dans ses veines. La réponse de Jacques la surprit au plus haut point.

  • Je veux que tu lèches ma soumise pendant que je la baise, elle m’a tellement étonnée hier soir que mon seul désir est de la rendre encore plus heureuse que je ne le suis aujourd’hui.

Ecrivaillon

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